• Hommage aux poètes

    Hommage aux poètes

     

     Ni tout à fait trouvère ni tout à fait ménestrel, plutôt barde souvent, Gilles MECHIN s’inscrit dans la lignée de ces interprètes qui font découvrir la poésie par les mélodies que les mots lui inspirent. C’est par la musique qu’il se joint au poème, qu’il se mélange à lui. Des musiques qui vont droit aux mots avec respect et franchise. Longtemps il a chanté ses propres textes, aujourd’hui, il nous embarque avec sa voix ferme et soyeuse dans des univers aussi différents que ceux de Jules SUPERVIELLE, Jean SENAC, Louis ARAGON, Nazim HIKMET, Léo FERRE et Jean-Roger CAUSSIMON. Il fait une visite chez VERLAINE et BAUDELAIRE et chez ceux qu’il a fréquentés en ami, comme Nicolas GENKA et Philippe GAVARDIN.

     

    Pour ce récital, Gilles MECHIN est accompagné au piano par

    ALAIN BREHERET

     

    « A chaque fois que j’ai été mis en musique par quelqu’un, je m’en suis émerveillé. Cela m’a beaucoup appris sur moi-même, sur ma poésie. J’ai l’habitude de dire que la mise en chanson d’un poème est à mes yeux une forme supérieure de la critique poétique, une critique avec laquelle je puis être ou non d’accord. Mais c’est ici une critique créatrice. »                             Louis Aragon

     

    Les forains (Ferré)

    Comme à Ostende  (Caussimon)

    Ame, te souvient-il ? (Verlaine)

    Harmonie du soir (Baudelaire)

    La légende des légendes (Hikmet)

    Madame, dame de ma peur (Gavardin)

    Encore frissonnant (Supervielle)

    Le village au bord de l’eau (Supervielle)

    Le chien errant (Supervielle)

    La goutte de pluie (Supervielle)

    Plein ciel (Supervielle)

    L’arc-en-ciel (Genka)

    La folle (Aragon)

    La barque (Aragon)

    La Santa Espina (Aragon)

    Claire aux chardons (Sénac)

    Les belles apparences (Sénac)

    Je t’aime (Sénac)

    Rien (Sénac)

    Souviens-toi (Sénac)

    Mon enfant (Sénac)

    Cœur percé d’une hirondelle (Sénac)